Patrouille maritime : La reconnaissance des cibles par l’Atlantique 2 sera « 100 fois plus rapide » grâce à l’IA

En novembre 2022, le chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM] signa la mise en service opérationnel [MSO] du standard 6 de son avion de patrouille maritime Atlantique 2, ce qui était l’aboutissement d’un programme de modernisation entamé près de dix ans plus tôt.

Dans le détail, les dix-huit Atlantique 2 devant être portés au standard 6 disposent de nouveaux équipements [calculateur tactique, capteurs, consoles de visualisation des opérateurs, systèmes de renseignement optronique et acoustique, ndlr] et sont dotés d’une nouvelle version du logiciel de mission LOTI [Logiciel Opérationnel de Traitement de l’Information], d’un sous-système de traitement acoustique numérique de dernière génération [STAN] ainsi que de l‘interrogateur IFF TSA2542.

Surtout, leur capacité de détection est significativement accrue grâce au radar à antenne active Searchmaster, fourni par Thales. Opérant en bande X, celui-ci permet de suivre jusqu’à 1000 cibles simultanément [contre quelques dizaines auparavant], que ce soit à courte ou à longue portée. « L’imagerie à très haute résolution et les modes avancés de détection de cibles augmenteront les performances opérationnelles pour améliorer la connaissance de la situation tactique, même dans des conditions environnementales extrêmes », explique son constructeur.

Seulement, encore faut-il pouvoir tirer pleinement parti de telles capacités, lesquelles sont susceptibles d’alourdir la charge cognitive des opérateurs, dont les missions peuvent durer plusieurs heures. D’où le recours à l’intelligence artificielle.

Lors de l’annonce de la création de sa nouvelle entité « cortAIx », la semaine passée, Thales a fait état de travaux consistant à améliorer le radar Searchmaster grâce à l’intelligence artificielle.

« L’incapacité de l’IA à contextualiser l’information la rend inapte au jugement. Son principal avantage réside dans sa capacité à collecter, traiter et analyser de grandes quantités de données dans des délais très courts afin de présenter aux opérateurs radar une image beaucoup plus synthétique », a expliqué le groupe d’électronique de défense.

Ainsi, a-t-il précisé, en 2023, des essais menés en partenariat avec la Direction générale de l’armement [DGA] et la Marine nationale ont permis d’évaluer deux nouvelles capacités, à savoir un « mode de détection maritime IA couvrant de grandes étendues de manière intuitive » et une « fonction de classification IA permettant de reconnaître les dimensions de centaines de cibles en quelques secondes, contre plusieurs minutes auparavant ».

Ces essais ont donné pleinement satisfaction puisqu’il est question d’intégrer ces algorithmes d’intelligence artificielle à bord de l’Atlantique 2 Standard 6 en 2025. Ces travaux pourraient également profiter aux futurs avions de surveillance de la Marine [12 « Albatros » prévus à l’horizon 2035, ndlr] étant donné qu’ils seront également équipés du radar SearchMaster.

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47 contributions

  1. PK dit :

    Aujourd’hui, le mot du business loto le plus rentable est IA. Si t’arrives à le placer, avec un bon facteur multiplicatif sorti du chapeau, tu peux avoir l’investissement de ton choix…

    • Tartupe dit :

      Il y a 25 ans, il fallait placer un « @ » pour avoir le même effet.

      • Nike dit :

        Oui, l’IA ce n’est pas qu’un simple effet de mode, c’est une véritable technologie de rupture, comme l’a été internet il y a 25 ans. Il est urgent de ne surtout pas rater le train !

    • Vinz dit :

      Sauf que ce n’est pas uniquement un concept. C’est un truc pas nouveau mais aux applications bien réelles et qui bénéficie d’une puissance de calcul qui n’existait pas il y a trente ans.
      IA + drones = changement de donne dans la façon de conduire une guerre. Comme en 1940 la radio à tous les niveaux. Sauf dans l’armée française…

      La question serait plus de savoir quelles sont les solutions retenues par Thalès en termes de processeurs pour le traitement IA – vu que ITAR free, souveraineté etc.

    • VinceToto dit :

      J’ai mieux!
      Une IA post quantique de protection relié à un cloud blockchain pour vous protéger des IA quantiques de hacking et déchiffrage de vos gouvernements et des Chinois!
      (Le type il paye car il se croit important, intelligent et cultivé, en plus tu l’espionnes! Cela ne protège pas de toute façon.).
      Après, il y a quand même des applications IA qui peuvent être efficaces sans être trop nuisibles, ou alors marrantes pour les enfants(Alexa… la pauvre…) et c’est déjà bien. A titre perso, je n’en utilise pas quand j’ai le choix, pas de GPS non plus, ni etc. .

      • PK dit :

        L’IA dans l’absolu n’est pas une bonne ou une mauvaise chose. C’est juste que comme tous les trucs à la mode (« hype »), c’est saoulant de le voir utiliser comme Business Loto.

        Après, c’est le truc le plus marketing (sic) du monde : avoir réussi à accoler intelligence avec un truc con comme une brouette, chapeau : dans le genre fantasme à deux balles chez les néophytes, c’est le gros lot du Loto à chaque fois…

  2. LEONARD dit :

    Marine Nationale toujours. Un nouvel exploit de nos marins:
    https://twitter.com/MarineNationale/status/1774735104704663563

  3. Toto dit :

    Sérieux, ne relayez pas cette com’, Thales ne va plus pouvoir recruter. La particularité de l’IA est bien de contextualiser et il y a des tas de démos en ligne où vous pouvez le constater (regardez Sora d’open AI). Ce que fait Thales en ce moment c’est de l’informatique classique, ce n’est pas à dénigrer, c’est même très bien, mais on ne peut pas sérieusement communiquer que l’on fait de l’IA sur un programme industriel démarré il y a 10, donc pensé il y a 20 ou 25 ans. Les jeunes ont accès à l’info via internet et ils peuvent relier les bouts et même si ils ne le font pas et qu’ils signent chez Thales, quand ils auront compris, ils se sentiront trompés et ils vont démissionner. Si vous ne voulez pas que se soit perdant/perdant, il faut être honnête et arrêter d’embellir la mariée, que Thales investisse dans l’IA c’est une nécessité et ça un jeune peut le comprendre, mais ne dites pas que c’est opérationnel sur un programme qui à été démarré il y a 10 ans

    • Mic dit :

      Vous êtes un salarié de Thales pour avoir ces infos ?
      Je connais trop bien la boutique pour vous dire qu’ils y bossent depuis plus de 10 ans….Tout le monde parle d’IA parce que les média font le buzz…et que cela tombe dans des applications de tous les jours !!!!

    • . dit :

      L’Intelligence artificielle, un très très vieux marronnier (une info qui ressort régulièrement), actuellement outrageusement ressuscité par le marketing financier.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_artificielle
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_l%27intelligence_artificielle

    • EchoDelta dit :

      Vous débarquez ou votre culture commence depuis le COVID ???
      L’IA est enseignée et pratiquée depuis plus 45 ans, les écoles d’ingénieur communiquait déjà sur l’IA comme un vecteur d’enseignement à ces époques, avec des réalisations étudiantes sur les jeux d’ordinateur.
      Elle est présente massivement dans les voitures et les avions depuis 35 ans.
      Ce qui a changé depuis : la puissance de calcul un peu, et surtout les masses de données pour réaliser les apprentissages nécessaires, notamment pour les apprentissages basés sur l’imagerie.
      Alors un projet démarré depuis plus 40 ans peut tout a fait contenir de l’IA, et je dirais même que rare sont les projets en embarqués qui n’en contienne pas pour d’évident avantage financier. Apprendre est moins couteux que de stocker, s’adapter est plus rapide que tout prévoir.

  4. Félix GARCIA dit :

    🙂

    Et travaillons d’ores et déjà sur des versions militarisées et dronisées de l’EENUEE.

  5. Félix GARCIA dit :

    HS marine : « Mer Rouge : à bord d’une frégate française protégeant les navires des attaques des Houthis »
    https://www.youtube.com/watch?v=NW9pHENfjUU

  6. zaza24 dit :

    quel est l’intérêt de suivre près de 1000 cibles plutôt que quelques dizaines lors vous parcourez l’océan ?
    Alors, certes, qui peut le plus peut le moins mais 1000 , je ne vois pas ni l’intérêt ni les situations qui pourraint se rencontrer avec plusieurs centaines de « cibles  » ?

    • Pascal, (l'autre) dit :

      @zaza24 « je ne vois pas ni l’intérêt ni les situations qui pourraint se rencontrer avec plusieurs centaines de « cibles » ? » Avoir « l’œil » sur tout est un gage de sécurité. Des « cibles » peuvent soudainement devenir prioritaires et d’autres….moins! Ce « traitement » des priorités sera rendu efficace grâce à l’I.A.!

    • Mic dit :

      Pour faire le trie…..vous connaissez les attaques par saturation des senseurs ?
      Réfléchissez ?

    • vrai_chasseur dit :

      @zaza24
      parce que l’état-major utilise les ATL2 en patrouille maritime, terrestre et aérienne et également pour tirer directement des munitions guidées.
      A avion couteau suisse, radar couteau suisse.
      cf photo, le SearchMaster est ici en mode GMTI (suivi de cibles mobiles terrestres) depuis un ATL2
      http://www.thalesgroup.com/sites/default/files/database/assets/images/2021-04/IMG15%20GMTI%201.png

    • themistocles dit :

      Ordre de grandeur : A partir d’une position juste au sud de Marseille, à une altitude convenable, un ATL2 peut communément détecter les pistes de 800 à 1000 navires de toutes tailles se trouvant entre Gibraltar, le canal de Sicile, la cote européenne et l’Algérie. Je vous garanti qu’un petit coup de main, même d’une l’IA, n’est pas de refus dans ces cas là.

      • breguet dit :

        themistocles : CQFD…Il faut avoir été assis derrière la console radar pour se rendre compte et connaitre la charge de travail de l’opérateur..

  7. KOUDLANSKI Romain dit :

    Concernant l’Albatros son développement va commencé quand ?

  8. Boby dit :

    L’IA peut faire beaucoup de choses en bien ou en mal, genre « …détection de multiples cibles , impossible de toutes les détruire, après calcul…sautez en parachute avant destruction , vous avez 1minute… »
    Donc on pourrait sauver des vies 🙂

    • Rakam dit :

      Merci, j’ai bien ri…

    • rainbowknight dit :

      Le 1er avril saurait elle nous sortir un poisson ? Pour un Atlantique la pêche doit être bonne , renseignement ou pas…

    • Alfred dit :

      Hors sujet peut etre pas si idiot que ça au point où ‘ous en sommes. Puisque l’IA est capable de pratiquement tout faire, ne pourrait-elle pas aider à trouver le pognon que nos génies de la finance cherchent désespérément ailleurs que dans nos poches qui commencent à sonner le creux?

      • PK dit :

        Elle pourrait surtout chercher des neurones chez nos décideurs… Mais bon, à l’impossible, nul n’est tenu !

  9. TechHmast dit :

    « L’incapacité de l’IA à contextualiser l’information la rend inapte au jugement. »

    Je suis le seul à penser que Thales a 4-5 ans de retard en termes de compréhension de ce que l’IA peut faire ou bien la citation sortie de son contexte (sans mauvais jeu de mots) rend cette affirmation quelque peu anachronique ?

    Non seulement l’IA peut contextualiser mais des API permettent déjà d’offrir au grand public cette capacité de contextualisation :/

    • vrai_chasseur dit :

      La contextualisation d’une décision militaire est souvent politique.
      Par exemple en police du ciel, on fait remonter le jugement et la décision d’abattre ou pas un présumé hostile, au premier ministre en personne : pour juger du contexte politique et des conséquences de ce genre de décision, l’IA ne vous aidera pas beaucoup.
      Les ingés de Thales restent modestes, l’IA ne pourra pas juger seule si en contexte on risque de déclencher ou pas la 3ème guerre mondiale.

      Par ailleurs l’IA même générative dernier cri doit d’abord se nourrir (se gaver même) de milliards d’informations venant du terrain pour apprendre à générer des informations utiles.
      L’intérêt de l’ATL2 est qu’avec ses missions de couteau suisse de l’état-major, il patrouille en mer et sur terre, en suivi à la surface, sous l’eau, terrestre et aérien. Il procure ainsi des données suffisamment variées pour contribuer à l’apprentissage supervisé de l’IA du SearchMaster. Et encore, Thales doit également injecter pas mal d’informations de synthèse pour que l’IA apporte une valeur ajoutée à l’opérateur.

      • TechHmast dit :

        Je suis d’accord en temps de pré-conflit, comme cela est le cas en Ukraine entre la Russie et l’occident, mais lorsque la guerre est déclenchée, je ne pense pas qu’en hypothèse de Dog Fight ou autre, nos militaires aient besoin d’appeler le 1er ministre avant de tirer (attention ce n’est pas une certitude, je n’y connais pas grand chose sur les protocoles militaires).
        Si dans ce cadre on ne permet pas très vite à l’IA de prendre les décisions, la partie adverse qui elle permettra de les prendre aura un véritable avantage.

        Un bon point pour la donnée nécessaire à l’entrainement des différents modèles 🙂

    • Mic dit :

      Thales
      4 à 5 ans de retard….
      Je suis écroulé de rire……Quand on
      connaît la boîte…..
      Allez voir dans tous les domaines où elle bosse…

    • Vinz dit :

      Elle peut contextualiser ; ça ne veut pas dire qu’elle le fait toujours avec pertinence. Je vous fais grâce de toutes les polémiques récentes.

      Sur un navire de combat ça signifie ne pas laisser à l’IA le soin de décider ultimement s’il s’agit d’un drone hostile ou d’un avion ligne ; d’un départ d’un missile intercontinental ou d’une activité solaire anormale etc.
      https://www.bbc.com/reel/video/p07y7021/the-night-the-world-almost-almost-ended

    • VinceToto dit :

      A la base, les réseaux neuronaux se « programment » avec des « contextes » et donnent des résultats en fonctions de « contextes ». On n’est pas sur du procédural logique+math.
      Je suppose que le représentant commercial Thales a voulu dire quelque chose de flatteur à propos de l’intelligence du personnel humanoïde militaire (Il n’allait pas dire: on vous laisse votre procédural car c’est trop ch. .).

    • MacOuanne dit :

      Ce qui est compliqué c’est de certifier le résultat d’une analyse par IA. Les modèles grand-public des GAFAM ne permettent pas d’expliquer comment ils sont arrivés à leur résultat. Pour une application sensible, pas question d’utiliser un modèle qu’on en comprend pas parfaitement. C’est en ça que l’IA telle qu’elle est comprise par le grand public est « incapable ».
      IA dont on parle ici est une IA qui traite des données selon une logique explicite (donc ça ressemble à un algorithme) et qui n’a pas vocation à tout faire à la place des opérateurs.

    • Chrislo974 dit :

      Ce n’est pas à l’IA de juger, on lui demande de calculer, surveiller, répertorier, catégoriser, elle peut notamment surveiller le cap, la vitesse d’un vecteur, le départ d’une munition, la cible de destination, grace à son répertoire des forces sur son champ d’action, calculer la meilleur munition d’interception destruction…et cela très rapidement sur des dizaines de menace entrant. le but est une meilleur réactivité; exemple de scénario un hawkeye détecte au dela de la portée radar de la frégate AA qui protège la task force sur ce cap, l’opérateur vient tous juste de le voir sur son pupitre que l’IA du hawkeye à déjà calculé la vitesse, l’altitude, son cap pour proposer une identification possible et transmis le tout sur le pupitre de l’officier tactique de la frégate en doublant l’information sur les consoles tactiques d’une patrouille rafale croisant à quelques miles de là…

      • VinceToto dit :

        Pour les calculs physiques, graphiques, c’est plutôt des composants de calcul physique/graphique que de l’IA pour des raisons de coûts/efficacité.
        Par exemple, l’IA a dans ce cas pour fonction de trouver puis de juger si une forme est potentiellement un navire, puis quel navire, etc.. Donc, l’IA juge, contextualise, etc., car c’est sa fonction.
        (En fait, c’est possible de faire des programmes, composants, sans IA pour ce type de fonctions mais c’est plus « complexe ».)

  10. Kef dit :

    Je pense que l’utilisation de l’intelligence artificielle dans le domaine militaire est une perte de temps et même dangereuse, car tout dépend du logiciel utilisé et des banques de données gigantesques qui « nourrissent » le logiciel, ce qui fait une chaîne qui peut être corrompue à un stade ou un autre de son utilisation, .. notamment par l’introduction de données fausses parmi la masse nécessaire au logiciel.

    L’histoire actuelle nous démontre que la guerre n’est et ne peut être qu’une affaire de force primitive, brute et massive et nombreuse, : vouloir en faire du jeu vidéo ou l’utilisation de logiciels informatiques compliqués est une pure utopie par rapport à ce qu’est une guerre par essence. Et ceci depuis les débuts de l’humanité.

    Les armées, et pas seulement elles, pourraient plutôt étudier et surtout démentir ce que certains prétendent être une forme de  » guerre acoustique », ou » d’attaque acoustique », telles qu’elles sont décrites en gros titres dans un grand quotidien national , ce jour ..:

    « https://www.lefigaro.fr/international/le-syndrome-de-la-havane-qui-touche-des-diplomates-americains-est-lie-au-renseignement-russe-selon-une-enquete-de-medias-20240401 »

    Un article sensationnaliste qui fait totalement l’impasse sur la matérialité possible des causes : les paramètres techniques et la faisabilité physique de ce genre « d’attaque » prétendue… et pour cause !

    L’utilisation d’ondes sonores pour causer des dégâts sur le cerveau humain, cela ne peut être que l’utilisation de fréquences… utiliser des ondes, des fréquences, pour endommager considérablement un cerveau humain ( qui ne peut capter qu’un nombre limité de fréquences ) demanderait un tel appareillage qu’il faudrait l’abriter dans un immeuble entier…

    voilà donc encore un article qui sème le doute, qui est accusateur et qui est au final diffamatoire, en laissant croire à une culpabilité et à un type d’attaques qui concrètement sont une pure farce de science-fiction…
    Car si des systèmes de cette sorte pouvaient exister, ils auraient été inventés et améliorés et utilisés concrètement depuis longtemps, et ils serviraient aussi à détruire des avions, des armées ennemies etc.

    La désinformation n’a pas de limites…

    • Hi fi dit :

      Il y a plus de quarante ans, on parlait déjà de dispositifs d’écoute utilisant des micro-ondes, qui avaient le désavantage d’endommager le cerveau des personnes écoutées.

    • Bench dit :

      @Kef où qui que vous soyez : « La désinformation n’a pas de limites… » , la propension de certains ici à en faire leur dada non plus! Tout comme le hS d’ailleurs.

      • Choucroute dit :

        « Tout comme le hS d’ailleurs. » vous dites la même chose à LEONARD ou à Felix Garcia aussi , je suppose . ?

        • choucroute dit :

          Moi, je le lui dis, à Félix. Vous, je n’ai pas souvenir de vous avoir déjà vu le faire. Je crois que j’aurais remarqué.

        • Bench dit :

          @KefChoucroute: ben non, parce que les infos apportées par ces deux contributeurs sont assez pertinentes et ont le plus souvent un rapport avec le thème de l’article. Ce qui est loin d’être le cas d’un post tel que le votre où vous bavassez désinformation, diffamation, culpabilité entre autres inepties.

      • Vert-de-gris dit :

        KEF est une société britannique spécialisée dans la fabrication d’enceintes acoustiques. Elle commercialise aussi des câbles hi-fi en… cuivre.