Naval Group et Couach s’allient pour proposer des drones de surface dédiés au combat naval collaboratif
Si l’usage généralisé de drones aériens FPV [First Person View – Vue à la première personne] durant la guerre en Ukraine n’est peut-être qu’une parenthèse, comme le pense le général Pierre Schill, le chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT], il en ira certainement autrement pour les drones de surface [USV], ceux-ci ayant permis aux forces ukrainiennes, dépourvues de navires de guerre, d’infliger de sérieux revers à la flotte russe de la mer Noire.
En réalité, cela fait maintenant plusieurs années que les USV suscitent l’intérêt des forces navales. En 2012, la DARPA, l’agence du Pentagone dédiée à l’innovation, défricha la voie en lançant le projet ACTUV [Anti-Submarine Warfare (ASW) Continuous Trail Unmanned Vessel], lequel permit de mettre au point le Sea Hunter, un trimaran autonome de 140 tonnes bardé de sonars, radars et autres capteurs. Depuis, avec son programme « Ghost Fleet Overlord », l’US Navy entend accélérer l’intégration de navires sans équipages [de surface ou sous-marins] au sein de sa flotte.
D’autres pays suivent le même chemin. Comme la Turquie, avec les USV armés « Ulaq », conçus dans le cadre d’une coopération entre Ares Shipyard et Meteksan Defence. La marine turque en a commandé plusieurs dizaines d’exemplaires.
En juillet, le ministère néerlandais de la Défense a lancé des études sur un drone de surface dédié à la lutte anti-sous-marine [USV ASW] et pouvant être mis en œuvre depuis les frégates issues du programme ASWF. De son côté, la Royal Navy s’intéresse aussi à cette capacité, laquelle lui permettrait de pallier en partie ses problèmes de personnel tout en lui donnant de la « masse », les USV étant relativement peu coûteux à l’achat et faciles à produire.
« Le coût des drones » et « les moyens pour les contrôler » rendent « possible leur achat et leur pilotage en nombre très important », ce qui fait que la « quantité peut alors redevenir un mode d’action à part entière, par exemple sous la forme d’essaims », avait d’ailleurs récemment expliqué le capitaine de frégate François-Olivier Corman, co-auteur, avec le capitaine de vaisseau Thibault Lavernhe, de l’indispensable ouvrage « Vaincre en mer au XXIe siècle ».
Pour le moment, et même si la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 prévoit 5 milliards d’euros d’investissements pour les « drones et les robots », la Marine nationale n’a pas encore précisé ses plans en matière d’USV, hormis pour la guerre des mines et les drones sous-marins, via le programme UCUV [Unmanned Combat Underwater Vehicles], confié à Naval Group.
Pourtant, une filière visant à développer et à produire des USV commence à prendre forme en France. Ainsi, en 2022 le chantier naval Couach a dévoilé « Magellan », un drone de surface en composite [kevlar et carbone] de 6 mètres de long pour un déplacement de 1,2 tonne, doté d’une propulsion diesel-électrique lui permettant de naviguer à la vitesse de 6 nœuds. Il peut assurer des missions de guerre électronique, de renseignement, de surveillance et de reconnaissance.
Par ailleurs, filiale de Naval Group, SIREHNA propose au moins trois modèles de drones de surface dans son catalogue, à savoir le SIR850 et le SIR175 [tous les deux dédiés à des missions de surveillance] ainsi que le SIR930 [interception, avec des armes non létales].
Mais il est question d’aller plus loin. En effet, le 29 août, Naval Group et Couach ont annoncé qu’ils avaient noué un partenariat en vue de proposer aux forces navales des « drones de premier plan capables de répondre aux exigences du combat collaboratif ».
[#drones] ⚓💡 Notre filiale SIREHNA et Couach s’allient pour développer ensemble des drones rapidement déployables, prêts au combat.
Objectif: répondre aux besoins opérationnels immédiats des marines en remplissant les exigences du combat collaboratif.
👉https://t.co/zxOYYsoTG4 pic.twitter.com/VHnUHQWJ3D— Naval Group (@navalgroup) August 29, 2024
« Avec la création début 2023 de la direction « Drones, Systèmes autonomes et Armes sous-marines », Naval Group veut proposer aux marines une offre complète intégrant ses propres drones et systèmes autonomes, mais aussi ceux de sa filiale SIREHNA ou de partenaires. Alors que les conflits de haute intensité se multiplient, l’objectif de Naval Group est d’accroître la capacité opérationnelle des forces navales par des solutions innovantes, éprouvées et compétitives », a fait valoir l’industriel.
Ce partenariat s’appuie sur l’expérience de SIREHNA dans les technologies de téléopération de navires ainsi que sur les savoir-faire de Couach en matière de conception et de construction de « navires sur mesure ». Pour Naval Group, il permettra ainsi de proposer des « produits prêts au combat, rapidement déployables mais aussi ultra-compétitifs ». Un premier modèle issu de cette coopération devrait bientôt être dévoilé.
Photo : Couach
2017 :
https://www.youtube.com/watch?v=SCYkYs4sN_8
Si nous sommes capables de coordonner différents drones pour surveiller et poursuivre en mers, la marge à franchir pour l’attaque en meute est mimine, et c’est avant tout de faire les chèques pour coopérer, prototyper puis industrialiser.
Pour la R&D : Exail (ECA), Naval Group, Couach, Thales, Safran, Airbus Hélicoptères, Icarus Swarms, Delair, DAE, etc.
Il faudrait surtout développer en parallèle les moyens pour les contrer. Ce n’est pas avec des navires de guerre doter de 1 ou deux canons rapides qu’ils pourront arrêter une attaque coordonner Mer + Air.
les canons 20 mm suffisent amplement. il y a aussi des mmp en lot de bord selon la menace et le type de mission (donc presque toujours maintenant).
les laser helmaP arriveront sur nos navires assez vite.
reste aussi le brouillage ou sa version bourine : tu allumes tous les radars a fond (effet mini emp, toute elec qui n est pas fortement blindée est juste cramée)
Bonjour @Dolgan,
Comme vous le savez le MMP de chez MBDA est un missile antichar (remplace le Milan et le Javelin) (capable de percer 3m de béton à 4000m), qui théoriquement ne doit pas être employé à moins de 160m. Je ne sais pas où en sont les études pour l’adapter sur drone ou en version maritime sur les vedettes et embarcations légères ? Mais, tout comme un tir canon il est susceptible d’être inopérant sur certains drones peu visibles car évoluant sous la surface de l’eau, ainsi, si le RapidFire de 40mm peut offrir effectivement une très bonne capacité antisurface, il n’est pas une garantie de succès pour les drones sous-marins. Et il faut aussi prendre en considération une possible attaque groupée ou en essaim qui nécessiterait l’intervention coordonnée de plusieurs tirs quasi-simultanément et je ne sais pas si nos moyens actuels de défense et systèmes de combat sont aussi performants (?)… Les laser HelmaP sont conçus pour des tirs anti-aériens et anti-surfaces, mais leurs effets se dissipent dans un liquide et aboutissent à une déviation du faisceau (Par ailleurs, ces lasers ne seront véritablement opérationnels que dans quelques années). Reste effectivement le brouillage comme avec le système “Canto“ de chez NavlGroup en particulier ; et pour la « version bourine », cela parait possible par le champ électrique créé mais, fonction de mes connaissances limitées en la matière, j’ai des doutes sur l’efficacité opérationnelle (Est-ce issue de votre expérience personnelle ? [Pour les correcteurs, j’ai un doute pour l’accord de “issue“…]).
les drones sous marin ne pouvant rattraper un navire de guerre naviguant, cela règle le problème.
@Dolgan,
Si vous le dites !
Et si je vous suis, on peut ignorer les navires à quai (Les russes en savent quelque chose) ou ceux naviguant à petite vitesse, ou encore ne pas tenir compte de l’évolution très rapide des technologies (On est plus au temps des drones sous-marins qui évoluaient entre 2 et 4 km/h). Certains drones filent à la vitesse d’une torpille, car une torpille guidée peut être considérée comme étant un drone !
@Joe Bonjour,
Remarque à mon avis très pertinente !
Une solution : des drones anti-drones ?
Face à la claire évolution vers des modes d’attaque sans pilote, télécommandés ou autonomes, notre pays a la chance de pouvoir compter sur le leader mondial des hautes technologies de détection, le groupe français Thales. [Un petit aparté pour alerter sur ce qui m’apparait comme une incohérence ; Thales a très récemment décidé de cesser ses embauches d’ingénieurs en France et au Royaume-Uni, au bénéfice de ses filiales en Inde et en Roumanie, et ce alors que Thales bénéficie d’une forte commande publique et que les résultats financiers du groupe sont remarquables, 18,4 milliards € de CA pour un résultat net de plus d’1 milliard €, et sachant que l’État français détient 26,1% de son capital…].
Pour en revenir au sujet, si la détection sous-marine a fait d’énormes progrès, grâce à Thales en particulier avec ses programmes “BlueScan“ et “ Pathmaster“, il n’en demeure pas moins qu’une partie non négligeable de notre flotte n’est pas encore dotée de tels moyens de détection, et encore moins de dispositifs de lutte spécifiques anti-drones de surface ou sous-marins.
https://youtu.be/B8n8fezlsNk
Actuellement, la défense contre ce type d’attaque est principalement celle proposée par NavalGroup avec le système “Canto“, dispositif de contre-mesure anti-torpilles et de drones sous-marins.
https://youtu.be/ahNrxoodXHM
En complément, faudrait-il produire des drones anti-drones de surface ou sous-marins ?
Imaginez l’impact (humain, médiatique) si l’un de nos navires venait à être coulé par un drone, de surcroît si celui-ci ne coûte que quelques milliers d’euros…
Imaginez le stress de nos marins lorsqu’ils traversent une zone critique (mer Rouge par exemple) en sachant pertinemment qu’ils seront peut-être à la merci d’un drone non aérien, car n’ayant pas la réponse immédiate efficace pour traiter ce type d’engin, à plus forte raison en cas d’attaque par essaim multiformes…
Des navires dotés.
Une attaque coordonnée.
@joe
les drones de surface restent des cibles « lentes », relativement faciles à contrer avec les moyens déjà existants : canons à tir rapide, missiles, roquettes guidées… le point le plus délicat ne réside donc pas dans les moyens d’interception eux-mêmes, mais dans la détection préalable, puis dans la coordination de cette interception. Ce qui suppose un haut degré d’automatisation de l’interception, les délais de réaction (notamment en cas d’attaque coordonnée) étant incompatibles avec une intervention manuelle sur les systèmes d’armes. Une menace qui doit désormais être intégrée au système de combat de tous nos navires.
les retex de la mer noire disent le contraire.
les russes ont repoussés l immense majorité des attaques de drones de surface avec des moyens de détection obsolètes et des canons manuels .
Les ukrainiens ont eu quelques succès quand même. Par ailleurs quels résultats obtiendrait un Naval Group ou un autre grand industriel de l’armement ayant accès aux technologies de pointe en matière de furtivité ou capable tout simplement de motoriser son drone de manière moins bruyante?
Oui évidement, il y a peu j’avais préciser que les moyens pour contrer était une priorité dans le monde des drones.
Et puis c’est une évidence, comment voulez vous mettre au point des systèmes efficaces si vous ne cogitez pas sur les moyens que l’adversaire pourra à l’avenir mettre en place pour vous contrer.
Donc les réflexions sont engagées et les solutions sont évidement envisagées, reste qu’il faut ensuite faire les chèques pour les développer.
En conclusion, rien ne servirait d’avoir des drones très efficaces si l’adversaire pouvait passer facilement nos défenses avec ses propres drones.
Aucun trou dans la raquette !
Le développement de « petits » drones de surface de quelques tonnes avec un faible coût unitaire est un passage obligé, avec des plus-values opérationnelles potentiellement intéressantes (attaques en essaim, capteurs déportés…). A ce titre, il est tout à fait opportun de soutenir ce genre de programme en testant différents types de porteurs et de configurations. Toutefois, ces drones resteront intrinsèquement limités par leurs capacités nautiques (endurance, vitesse, tenue à la mer…) et leur faible capacité d’emport.
Parallèlement à ces programme de petits drones de surface, nous devons donc travailler sans tarder à une nouvelle génération de drones de surface, avec un gabarit beaucoup plus conséquent et des capacités opérationnelles sans commune mesure. On parle ici de drones qui auront la taille d’une petite corvette (500 à 1000 tonnes), avec des capacités nautiques qui leur permettront sans problème d’accompagner des frégates ou le GAN, et qui disposeront d’une suite de capteurs complète (sonar + radar). Ces drones auront également la possibilité d’embarquer de l’armement et notamment des lanceurs verticaux, jouant ainsi le rôle de « réservoirs à missiles » au profit de nos frégates, qu’on sait peu nombreuses et notoirement sous-dotées en la matière.
A l’image des drones aériens « loyal wingman » qui accompagneront la prochaine génération de chasseurs, ces grands drones de surface apporteront une énorme valeur ajoutée, et un effet multiplicateur de forces à la Marine Nationale. Le tout pour une fraction du coût d’un navire « classique », et pour une fraction des difficultés de recrutement et de masse salariale qu’induiraient une augmentation du nombre de frégates.
Bonjour HMX,
Espérons que la collaboration NavalGroup/ Sirehna/Couach accouchera de tels drones…
@HMX,
Et une combinaison drone léger + torpille lourde, ça donne quoi?
Le drone reste hors de portée de tir, quasiment à l’horizon, partiellement immergé, il lâche sa torpille lourde qui va taper le navire à 30 km de là, y-compris s’il file à 30 nds, en mode filoguidé, la désignation d’objectif lui étant fournie par ailleurs par un autre moyen (un autre drone, un hélico, un avion, au bâtiment de surface, une station à terre, un satellite, ou un navire civil croisant à proximité, mais œuvrant sous couverture d’un pavillon de complaisance pour la marine adverse).
Une torpille lourde, c’est dans les une tonne, une tonne et demie, plus l’équipement à bord, on doit être dans les deux tonnes de masse à caser dans un drone « léger ». Je pense qu’on peu faire l’économie du tube lance torpille si la torpille est semi-carénée, sous la coque, donc directement dans l’eau.
On peut même imaginer un mode discret: le drone « largue » sa torpille, qui flotte entre deux eaux alors qu’elle est encore inerte, il évacue gentiment la zone en déroulant le fil de guidage derrière lui, il attend que la cible arrive à proximité, et là, on active la torpille qui se verrouille sur sa cible par ses propres moyens. On a donc quelque chose de très pur niveau émissions EM et bruit, jusqu’au dernier moment.
Et on peut utiliser des vieux stocks de F17 pour ça (si elles marchent encore). Ou de la MU90, qui est plus légère, plus moderne et moins encombrante. A ce moment-là, on aurait une enveloppe de masse moins élevée ce qui pourrait permettre d’en mettre deux.
Étonnant que vous n’évoquiez pas la TF 59 de la Veme flotte qu iest pionnière dans le domaine et dans laquelle la MN est insérée depuis près de 2 ans. Elle s’est implanté partout en océan indien (Bahreïn, Oman, Jordanie).
Elle s’est implantée.
sé un peu énairven cete mannie de reprandre an pairmanance les fôtes d’aurtograffe
@dyslexique
Raison de plus pour respecter son interlocuteur (et de se respecter soi-même), en appliquant les règles du français écrit.
Vous vouliez probablement écrire « Sait hun peux et nerf van sept manne hie d’heureux prendre ampère manne anse lez phot d’or taux graff. »
C top.
Ne faudrait-il pas élargir cette équipe à Exail, pour construire aussi des drones submergés et/ou sous-marins ?
En effet, Exail est probablement un des acteurs qui va compter dans la dronisation navale. Ils font aussi des drones de surface DriX, un nouveau drone océanique plus grand que le drix, et collaborent a un trimaran en composite de CMN.
Voui.
Les DriX, D2i et D2O (Naval Group) feront probablement un bon boulot.
Qui plus est, ils permettront au pays qui n’ont pas les moyens d’avoir de « vraie marine » de pouvoir être en mer quand même.
Exail a effectivement sa propre solution opérationnelle et déjà commercialisée. Ils testent déjà une nouvelle version.
https://lemarin.ouest-france.fr/economie/entreprises/le-droniste-exail-met-a-leau-son-modele-drix-o-16-pour-la-premiere-fois-a-la-ciotat-db654d40-1f26-11ef-b868-127b2923bc1b
et on appellerait cela UCUV?
Je plaide pour des drones-citernes (petits et grands). Afin de ravitailler des Hydro-ULM et des hydravions (EENUEE, Frégate-F100), mais aussi d’autres petits drones.
PS : « Le trimaran VELA est conçu pour une propulsion 100% à la voile, dans le petit comme le gros temps. »
https://vela-transport.com/bateaux/
PPS : « l’indispensable ouvrage « Vaincre en mer au XXIe siècle ». »
Après « Par le fer et par le feu ».
^^
* Après avoir fini « Par le fer et par le feu »
^^
@Félix,
Avec une intervention humaine au moment des opérations de ravitaillement, ou sans?
Si vous avez une intervention humaine, il faut que votre drone soit doté d’un pont (une surface suffisamment plane et régulière pour permettre la manœuvre des opérateurs humains, avec un bastingage pour qu’ils ne tombent pas à la flotte à la première vague.
Sinon, il vous faut des bras articulés automatiques qui soient capables de mettre papa dans maman (de brancher les connexions des fluides que vous voulez transborder) alors que les deux bateaux vont bouger en raison de la houle. La question qui se pose à ce moment-là, c’est de savoir si on sait faire ou pas. Au sol, au banc d’essai, on sait faire. En mer, dans un environnement qui bouge, je sais pas.
Et il faut que le truc soit fiable, c’est ça le problème: un militaire refuse de monter une opération qui repose sur un ravitaillement qui pourrait ne pas se produire. Il a besoin de certitude. Si le ravitaillement marche un coup sur deux, ça va pas le sécuriser.
La difficulté avec la mer, c’est le délai qui sépare le paradis de l’enfer: vous êtes au paradis, vous entendez le doux clapotis des vagues contre la coque, le ciel est bleu, le vent est doux et vous savourez votre cocktail peinard, tout baigne. Sauf que 10 mn plus tard, le ciel est noir, le vent souffle à décorner un bœuf et vous vous retrouvez avec des vagues de 5 mètres de creux: soudainement, c’est l’enfer.
Cinq mettre de creux, au passage, ça veut dire que, si votre drone ravitailleur est dans le creux de la vague, alors que le truc qui doit être ravitaillé est à sa crête, alors il sont séparés par une hauteur de 5 m. Donc le bras articulé qui est censé faire le job devra avoir l’amplitude correspondante.
L’automatisme doit pouvoir gérer ça en donnant de la certitude à ses utilisateurs. C’est pas un cahier des charges facile à satisfaire, je pense.
Intéressant
Équipés de systèmes non-léthaux (son et lumières). Alloués à la surveillance des lieux stratégiques comme les rades de Toulon ou Brest mais nous avons changé d’époque.
Le baigneur égaré va trop vite laisser la place à des puissances hostiles. Elles sont juste en face, sur les bords de la Méditerranée.
La Marine nationale, la BITD française, DGA et politiques sont condamnés à ne pas reproduire le cas Dewoitine 520.
Excellent mais sous-dimensionné (agenda tactique, stratégique et industriel).
https://www.sirehna.com/unmanned-surface-vehicle-sirehna-usv/
Létal, létale, létaux, létales.
Pas de « h » à létal en français.
Je sais que…mais quelle belle femme A.N
Ca met un peu de soleil, non?
si vous savez, pourquoi vous êtes incapable de garder vos propos déplacés ?
tiens un *** américanisé. Y a vingt ans seulement, jamais tu n’aurais fait cette réponse de parpaillot coincé du slip à cette remarque totalement anodine et sans la moindre vulgarité.
le beauf totalement domestiqué par ses 5 heures quotidiennes de téloche « ah mais c’est du Vrounzintertéléramass, môssieu ! »
il y a 20 ans malheureusement, on faisait déjà cette remarque aux malpolis qui croient que les règles élémentaires de politesse et de vie en société ne s appliquent pas sur internet.
Dans le temps, avant l internet et sa liberté d expression sauce us, tu faisais cela au village, ta mère étais au courant avant que tu rentres. Tu étais bon pour un premier round avant le retour du padré. Et « on ne peut plus rien dire » n était pas une excuse à moins d être suicidaire.
faire remarquer qu’un femme est belle n’atteindrait aux règles de bienséance comme à la politesse que dans la tête d’un petit coincé du slip.
Et m…. !
Plutôt que de lire à longueur de temps des inepties tout aussi déplacées, c’était juste une parenthèse souriante, c’est tout.
Voilà tout, et si ça vous choque, allez à Lourdes brûler un cierge pour le salut de mon âme.
Franchement….
Merci Czar,
Votre intervention s’est intercalée, mais merci !
souriante?
je ne dois pas avoir consommé assez d alcool pour voir le côté souriant de la chose.
FredV: entièrement d’accord avec vous et en plus votre formulation était on ne peut plus respectueuse…A+
J’ai le sentiment que pour les drones de surface, il faut en rester à du rustique, comme le font les ukrainiens. Ils utilisent des jet-ski bidouillés, ni plus ni moins. Au passage: les fabricants de jet-ski sont japonais (Kawasaki) ou coréens. Il serait peut être plus judicieux de ramener une capacité de production sur le sol européen, mobilisable en temps de guerre…
Pour les drones sous-marins, en revanche, il faut y consacrer des investissements technologiques importants. On ne pourra pas tout financer, il va falloir choisir…
La qualité est une quantité. Je suis d’accord avec vous, il faut compléter le high tech par de l’attaque de saturation avec du consommable pas cher.
@desi
Tout dépend de l’utilité première du drone en question.
Si c’est pour du raid de bombardement, comme en Ukraine, il faut sans doute privilégier vitesse, maniabilité (et discrétion).
Pour la démarche évoquée ici, il semble que ce soit l’endurance (pour quasi permanence en mer) qui soit recherchée.
Et là, on privilégiera surtout la « légèreté » associée à la résistance (et si possible au bon profil de coque par rapport aux types de mer dans lesquelles ce drone devra évoluer) …
D’où l’intérêt pour les matières composites dont Couach est spécialiste pour la construction navale.
@desi
Des drones de surface « rustiques » ne sont à mon sens qu’une étape transitoire. C’est tactiquement très bien joué et très pertinent de la part des ukrainien dans le contexte qui est le leur. Cependant, cette menace est, et sera, de plus en plus prise en compte par les navires de combat. Ces drones dérivés de jet skis sont en effet relativement « simples » à détecter et à intercepter, sans compter le fait que leur liaison peut être brouillée.
L’avenir des petits drones de surface pourrait davantage être incarné par des drones semi-submersibles en composite et relativement silencieux à vitesse de croisière, ayant potentiellement l’aspect d’une grosse torpille, capables de croiser pendant plusieurs semaines à petite vitesse. Seul émergerait un mât optronique, destiné à repérer et reconnaître les cibles potentielles, ce qui rendrait ces drones particulièrement difficiles à détecter. Contrairement aux engins télépilotés, ces drones seraient largement autonomes, avec une IA capable de détecter et d’identifier automatiquement une cible. Une fois la cible désignée et validée (automatiquement par l’IA ou via la validation préalable d’un opérateur humain), le drone pourrait alors allumer une propulsion auxiliaire pour engager sa cible à grande vitesse en plongeant à faible profondeur, à l’image d’une torpille. Selon le contexte, on peut également supposer que le drone ayant détecté la cible pourrait la suivre silencieusement à distance de sécurité, le temps d' »appeler » d’autres drones présents dans le secteur pour organiser une attaque coordonnée via liaison sonar, ou satellite.
On s’éloignera ainsi inéluctablement du concept de drone télépiloté « rustique », celui-ci n’étant efficace que contre des marines pas ou peu préparées à cette menace, ce qui sera de moins en moins le cas.
« Une fois la cible désignée et validée (automatiquement par l’IA ou via la validation préalable d’un opérateur humain)… »
Donc, on en arrive tout naturellement aux SALA.
Au début, on avait dit « human in the loop », juré craché, mais finalement on va intégrer dans les systèmes une option de validation du tir par l’IA, et on ne voit pas comment il pourrait en être autrement puisque si on met de l’IA dans ces effecteurs déportés, c’est notamment pour pallier l’absence d’une liaison de données, qui permet justement l’intervention humaine.
Et dans certains milieux, comme le milieu aquatique, on sait que cette liaison de données n’existera pas en wifi, en raison de la faible propagation des ondes EM dans l’eau. Donc tout système qui ne reposera pas sur une liaison filaire et qui sera destiné à de la frappe aura nécessairement un option SALA. Surtout s’il faut contrer des effecteurs adverses qui, eux, seront des SALA.
Et si ses SALA adverses ont pour mission de s’en prendre à nos SNLE, ce ne sera même pas un choix, ce sera un impératif.
Adieu human in the loop, tu n’as tenu que quelques années face au progrès technique.
HS Industrie française : « EXCLU EUROPE 1 – Le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier, annonce un potentiel nouveau contrat de vente de Rafale d’ici à la fin de l’année »
C’est une exclusivité Europe 1. Éric Trappier, président directeur général de Dassault Aviation, est l’invité d’Europe 1 Soir week-end après la vente de douze Rafale à la Serbie, contrat signé à l’occasion de la visite d’Emmanuel Macron. Le PDG annonce au micro Europe 1 qu’un potentiel nouveau contrat pourrait voir le jour d’ici à la fin de l’année avec un nouveau pays.
https://www.europe1.fr/economie/exclu-europe-1-le-pdg-de-dassault-eric-trappier-annonce-un-potentiel-nouveau-contrat-de-vente-de-rafale-dici-a-la-fin-de-lannee-4264746#webview=1
—> « Le Rafale est face à un marché potentiel export de 324 appareils d’ici à 2035. »
https://meta-defense.fr/2024/08/31/rafale-potentiel-export-324-ex-2024/
Nous avons déjà des drones performants et possédons une haute technologie pour produire ce dont nous avons besoin. Ainsi, je suis très optimiste pour la qualité de ce qui sera produit très prochainement, et surtout de leur efficacité en action ou au combat.
Optimise que je partage.
Que ce soit avec les Rafale F4/5 ou « nEUROn 2 », on aura une aviation de combat et une aéronavale au taupe du taupe.
Qui plus est, les Phénix sont des merveilles, tout comme les A400M et les dérivés des Falcon … royal !
En attendant d’éventuels hydravions (EENUEE, Frégate-F100) …
Bonjour Félix,
Selon BFM Business (28/08/2024), Dassault serait aussi en « discussion » avec le Pérou, la Colombie et même l’Arabie Saoudite, et bien entendu le projet tant attendu « Make in India »…
J’y ajoute le Sultanat d’Oman, le Maroc (si si), l’Irak, la Bulgarie, l’Autriche, la Belgique (en duo avec le F-35),…
Mon interrogation se porte sur les capacités de production ? Son carnet de commandes est plein jusqu’en 2032-2035, en tenant compte d’une production de 3 Rafale/mois puis 4 Rafale/mois… L’entreprise va-t-elle externaliser la production du Rafale ? « Make in India » ? Ces commandes auront-elles des répercussions sur les commandes nationales ?
Quoiqu’il en soit bravo Dassault !
Quoi qu’il en soit, bravo Dassault ! Pas « Quoiqu’il en soit bravo Dassault ! »
Écrit en seul mot, « quoique » signifie « bien que ». La phrase « Bien qu’il en soit, bravo Dassault ! » aurait un sens bien différent de celui que vous souhaitez lui donner.
https://vitrinelinguistique.oqlf.gouv.qc.ca/21571/la-grammaire/les-homophones-grammaticaux/les-homophones-quoique-et-quoi-que
Allez expliquer cela à Dragon…
Bonjour Roland,
Alpha nous a parlé de la possibilité du « Make in India » ET du « Make in Arabia », ce sont là les deux « plus gros trucs » à l’horizon.
Ensuite, il y a tous les autres contrats.
Avec un peu de chance, cette commande supplémentaire … c’est pour la France !
Merci pour cette info qui a le mérite de rappeler que ce n’est pas Dassault qui nomme un prospect mais les médias qui font des hypothèses.
?
Il dit clairement qu’il espère un nouveau contrat avant la fin de l’année 2024.
En bref ,Dassault vend autant de Rafales en valeur que BAYKAR ne vend de TB-2 . 🙂 🙂
Hier le drone furtif ANKA-3 MIUS a commencé l’intégration de son
armement et a emporté une bombe guidée maison de 250 kg sous l’aile .
https://www.youtube.com/watch?v=-GbPv5XAj5Y
de 250 kg sous l’aile .
Bah non pas en valeur précisément. Le principal atout du TB2 est son prix autour de 5 millions. Le Rafale étant vendu grosso modo 20 fois plus cher, pour que les ventes de TB2 atteignent en valeur celles du rafale il faudrait que 6000 TB2 soient vendus… On en est très loin surtout que l’heure de gloire du TB2 en Ukraine est passée et que les ventes ralentissent.
Le TB-2 est le drone le plus vendu au monde 33 pays pour l’instant ,le prix unitaire est certe aux environs de 5 millions mais cela ne comprend pas les stations de
contrôle ni l’armement et peut être même pas sa boule électro optique .Si on se réfère aux innombrables commandes ,le prix unitaire revient plûtot aux environs de 10-12
millions ,en gros une 12
douzaine de TB-2 valent le prix d’un Rafale avec tout ce qui va avec ,entretien ,formation des pilotes etc etc .Pour l’instant le carnet de
commande est plein pour les trois
prochaines années à raison de 250
appareils par an ,d’autres
commandes arrivent les jours ,je ne
parle même pas de l’AKINCI avec une grosse commande de l’Arabie
Saoudite à hauteur de 3,1 MDs de
dollarsen fin d’année dernière,il est
aussi vendu à 8 autres
pays et de nombreuses commandes
sont aussi attendus ,le prix de cette appareil est plus conséquent aux alentours de 30-35 millions. Quant
à la fin du commentaire en ce qui
concerne l’Ukraine et la chute des
ventes c’est d’un ridicule absolu ,le TB-2 n’a pas d’équivalent et n’en aura pas de sitôt,un drone comme celui-là est indispensable pour n’importe quelle armée ,son efficience est au maximum de ce qu’on peut attendre d’un drone tactique ,utiliser un autre système pour faire ce que fait le TB-2 est tout simplement de l’hérésie et une petite financière ridicule . Pour info. le TB-3 arrive à grandes enjambées ,il sera opérationnel très prochainement ,la version pour l’armée de l’air est déjà pratiquement prête à entrer en service ,la version marine arrive en 2025 .
« le TB-3 arrive à grandes enjambées »
Ah bon ? Il serait peut-être plus crédible s’il arrivait à tire-d’aile…
Et la version marine, elle est sur les rails ?
Effectivement, les drones Bayraktar TB2 sont très efficaces pour détecter les départs de feux (incendies de forêts). Par contre, en Ukraine, les engins turcs Bayraktar TB2 ont sur le champ de bataille une efficacité limitée car leurs vulnérabilités sont les mêmes que celles d’un avion lent (Et les russes seraient de plus en plus doués pour les abattre ou les brouiller).
Source : https://www.lepoint.fr/monde/la-guerre-est-desormais-inconcevable-sans-que-chaque-unite-soit-equipee-de-drones-adaptes-01-09-2024-2569162_24.php#:~:text=On%20a%20beaucoup%20parl%C3%A9%20des,celles%20d'un%20avion%20lent.
Néanmoins, bravo à cette entreprise qui effectivement se sort les doigts du …
Le TB-est un drone tactique très efficace ,dans un conflit tel en Ukraine ,il est indispensable car la supériorité aérienne n’est pas aux
mains d’une des parties et les
systèmes de défense aériennes de moyenne portée ne sont pas assez efficaces contre le TB-2 ,il faut des systèmes plus performants et ils
sont rares et vulnérables s’ils ne sont pas protégés eux-mêmes,son soit disant brouillage électronique est complètement faux ,il n’est pas
vulnérable est a des contre mesures
,la plupart ont été détruits par
l’aviation ou ils ont été mal utilisés , l’Ukraine n’ayant qu’une poignée
de TB-2 certains sont encore actifs
mais leur utilisation n’est pas
autant divulguée qu’au début du
conflit où ils ont sauvé Kiev et fait
reculer les colonnes de milliers de
blindés des forces russes
,cela suffit amplement à les
considérer comme indispensables
contre des attaques non soutenues
par l’aviation et des systèmes de
défense aérienne digne de ce nom
.Le TB-2 n’est pas indestructible et
est en plus très bon marché ,son
efficacité n’a pas d’égal ,tout le
reste n’est que blabla et déclaration
propagande ridicule.La vingtaine de TB-2 Ukrainien a détruit des centaines de blindés ,des dizaines d’obusiers ,des LRM ,des systèmes de défense aérienne,des navires d’assaut rapide ,un hélicoptère etc etc ,ils ont largement été rentabilisés non ?? 🙂 🙂
D’accord avec vous en ce qui concerne le début du conflit. A présent, il est notoire que le TB2 est dépassé, et j’en suis désolé pour vous (Et pour les acheteurs…). Attendons le TB3 pour juger…
Et vous omettez de citer sa principale qualité : la modestie.
Ben il semble que le TB 2 ait eu une efficacité initiale très élevée, surtout par rapport au radar du Pantsir, parce qu’il a une vitesse d’approche qui fait que beaucoup de radars n’accrochent pas la cible, soit pour des raisons de décalage de phase, ou autres trucs dans ce goût-là que je ne comprends pas, soit parce que l’étage de traitement de signal du radar élimine les échos qui ne se déplacent pas assez vite, pour pas que l’écran de l’opérateur soit pollué par une multitude de spots sans intérêt militaire.
Donc le TB2 était invisible, en pratique.
Mais les Russes ont remédié à ce problème et maintenant ils le voient très bien. Donc le TB2 se fait allumer et les Ukrainiens ont modifié sa doctrine d’emploi en conséquence, ce qui se traduit, selon les observateurs, par une bien moindre efficacité offensive.
Reste le non-offensif, et là, peut-être qu’il a ses cartes à jouer. Et puis, comme d’habitude, on peut aussi modifier son armement pour qu’il puisse tirer à distance de sécurité. En gros, il faut lui mettre des trucs plus lourds, donc augmenter sa charge utile, ou au contraire travailler sur les munitions « micro » à forte allonge et grande précision, dans l’esprit de la small diameter bomb, mais adaptées à son gabarit.
Ou alors, il faut l’intégrer dans une bulle de guerre électronique qui lui permette de redevenir invisible d’une façon ou d’une autre.
Le TB2 est donc appelé à se perfectionner dans ces directions, si les armées qui l’exploitent veulent lui conserver une capacité offensive dans un contexte de haute intensité, avec des gens malins en face.
Il est question de vos drones plusieurs fois …
—> « Insécurité au Sahel : hausse de la cadence des attaques • FRANCE 24 »
https://www.youtube.com/watch?v=nL7qS6s97Lg
Là aussi il est question du TB-2 : « Keynote with CAS Air Chief Marshal Sir Rich Knighton at GASCC 2024 »
https://www.youtube.com/watch?v=V7Nd-DfYf3U
« Tuerie au Burkina : un collectif de victimes réclame des comptes à l’armée • FRANCE 24 »
https://www.youtube.com/watch?v=mvANsLB8DvQ
au fait, hors-sujet mais le récent rapprochement anglo-allemand évoquant une fusion éventuelle des lignes d’approvisionnement de leurs industries de défense devrait sans doute faire l’objet d’un article, non ?
Il y a loin de la coupe aux lèvres.
Mais avec un peu de bol les allemands vont tomber dans le panneau 🙂
Bonjour Czar,
Un partenariat de défense anglo-allemand pourrait ressembler aux accords de Lancaster House conclus entre Londres et Paris en 2010, selon des responsables, avec des promesses de créer une force commune et de partager des équipements et des centres de recherche sur les missiles nucléaires.
Source : https://www.zonebourse.com/cours/devise/EURO-BRITISH-POUND-EUR-GB-4593/actualite/Un-traite-anglo-allemand-pour-rapprocher-Londres-de-ses-allies-a-Bruxelles-47750034/
Ouvrez votre blog !
et pour respecter la loi universelle des ensembles parfaits, du ying, du yang et des Lavoisierenies communicantes, ftg.
Le yin et le yang. On sent que la spiritualité orientale, c’est pas votre truc.
Oh oui !!! Un blog où avant d’exprimer tes idées, tu commences par insulter tout le monde et affiches ton écrasante domination sur les cloportes à qui tu t’adresses.
C’est clairement porteur comme concept de blog. Je sens que ça va attirer la crème de la crème. Promis !
« et affiches ton écrasante domination sur les cloportes à qui tu t’adresses. »
à défaut de courage , on ne te déniera pas quelques éclairs de lucidité.
devant l’enthousiasme des masses, je vais réfléchir à un krowfounedinng
Sans oublier de déformer les mots pour afficher son mépris des valeurs consensuelles.
Ça va être un peu pénible à lire, mais il y a des amateurs.
Une fois de plus, ici au dessus un signe de Czar qui se manifeste par l’écriture d’ une……..!!!!
Le qualificatif c’est pour vous . Car ici et pour l’ensemble de son oeuvre, je propose l’application instantanée de l’incontournable : « Vox populi, vox Dei ».
Bonne soirée.
Sans doute que le Chantier naval Couach a besoin de ces commandes de Naval Group parce que ses comptes ne sont pas florissants. Très petits gains rapportés au chiffre d’affaires et résultats d’exploitation et résultats nets négatifs depuis quatre ans.
(source : https://www.pappers.fr/entreprise/chantier-naval-couach-cnc-511791410)
Ce peut-être un partenaire technique pour un groupe public adossé à l’Etat mais pas un partenaire privé. Espérons pour eux que les prix ne seront pas tirés vers le bas par NG.
Ce peut être.
C’est peut-être.
« Defense and Intervention Frigate Ship Brief »
https://www.youtube.com/watch?v=M2mlxKk7blc
Alors comme ça, avec le Captas, la marine britannique aurait pisté un Iassen ?! 🙂
Mine de rien, c’est l’un des domaines où les petits drones de surface, en tant que capteurs déportés, auront une grande utilité.
Marine nationale@MarineNationale
Un aperçu des solutions proposées par 35 industriels dans le cadre du « dronathlon »
Imaginer et créer une solution drones pour :
– Effectuer la reconnaissance d’une zone côtière
ou
– Etablir une situation en haute mer
https://x.com/MarineNationale/status/1830874989077188914
Une fois de plus, ici au dessus un signe de Czar qui se manifeste par l’écriture d’ une……..!!!!
Le qualificatif c’est pour vous . Car ici et pour l’ensemble de son oeuvre, je propose l’application instantanée de l’incontournable : « Vox populi, vox Dei ».
Bonne soirée.